Appartement de Sam Curtis

« Bien »

Je reprends ma pose initiale et plus délicatement je pose ma main sur son cou et prends ma lame et y vais lentement. Une a une je dégage les émaille de fer qui se retire un peu difficilement finit par y arriver.
« Bon accroche toi j’attaque la Carbonne sa risque de te lançait. »

En effet le Carbonne et accrocher au tissu et je dois y aller un peu fort mais sa ne devrait pas être plus douloureux que de se faire tatouer. Une fois le tout finit j’essuie le sang de la lame sur mon débardeur avant de le rangée prend du désinfectant et une compresse que je plaque sur son épaule avec une grande délicatesse surprenante et lui bande le tout

« Voilà» s’en rien dire je reprends mes affaires et me dirige vers la porte pour sortir

« Prend un flingue moins gros que le dessert a courte distance sa va mais sur une longue distance ton poignet accusera plus d’effort et il est un peu fragile en ce moment »

Je prends une clope dans ma veste

« Merde la dernière pfff… j’ferait mieux de fumer les billets de 10$ sa reviendrait au même »

Je me levai de mon tabouret et respirai un grand coup. J'avais envie de me défouler sur quelque chose mais une idée bien meilleure me vint à l'esprit. Je me dirigeai dans ma chambre et sortai avec deux paquets de clopes. Je m'approchai alors de l'homme, l'air de rien et les lui tendis.

"- Ca c'est pour te remercier."

Quand il fut assez proche pour prendre les paquets je lui envoyai mon genou dans les bijoux de familles, comme promis. Il se tordit de douleur sous le choc.

"- Et ça c'est pour mon poignet."

J’étais à genoux et me tenais les c******

« Arh salope je savais que les Américaines étaient perverse mais pas à se point waaah… »

Je me relève et finis par sourire

« Un partout et je te demanderais pas de me soigner les partie intérieur vu les façons dont tu administre tes anesthésies ces assez douloureux »

Je ramasse ma clope et lui tourne le dos à nouveau et penche la tête en arrière

« Bon je pense que tu meurs d’envie que je me casse ! »

"- Tu penses bien."

Il se retourna et fit une grimace, l'air insatisfait.

"- Mais n'oublies pas ton boulot et si tu veux me voir, passe au Kadie's, tu m'y trouveras plus souvent qu'au Poste."

Tout en parlant je me massais toujours le poignet. Il faudrait qu'il apprenne une fois pour toutes qui est le chef mais on travaillerait ça un autre jour.

"- Mais n'oublies pas ton boulot et si tu veux me voir, passe au Kadie's, tu m'y trouveras plus souvent qu'au Poste."

« Ouai tien parlons en du boulot… qu'es que je suis censé faire j’espère que tu va pas me faire faire traverser des gosses sur les passages protégés… et c'est quand je verrais la couleur de mon argent j’en ai un peu besoin la tu vois rien que pour trouver une piole et de quoi acheter des trucs chez le quincaillier. »

Je soupirais. *Pourquoi je sens que cette nuit aussi va être longue...*

"- Bon écoutes, Sin City n'est pas une ville tout droit sortie des contes de fées alors on doit s'occuper de réduire à néant les gangs, s'occuper de la Mafia mais ça c'est secondaire et régler leur compte aux ripoux, d'ailleurs j'en ai un en vu depuis quelques jours mais ça je m'en charge."

Tout en parlant je m'étais dirigée vers le salon, tout de même plus approprié pour parler, et m'assis sur le canapé.

"- Tu peux bosser avec qui tu veux et même utiliser tes sources persos, je ne te demanderai pas de comptes sur ça, par contre évites de trop copiner avec les politiciens, ce ne sont que des pourritures."

Je me mettai à l'aise en enlevant mes chaussures et ma veste puis continuai mon monolgue.

"- Et en ce qui concerne la paye, tu as un salaire miteux certes que te verse l'état mais le plus intéressant ce sont les primes qu'on te donne pour certaines missions."

J'avais fini et le regardai dans les yeux.

"- Des questions ?"

« Non c’est bon au plaisir je vais aller trouver un pont pour dormir »

Je me dirige à nouveau vers la sortie tourne la poignet et ouvre la porte avant de m’engager dans l’encadre.

Je me levais pour le suivre.

"- Normalement je ne fais pas auberge mais j'ai entendu dire que les gansters du coin recherchaient un japonais fort en arts martiaux et comme je n'ai pas envie qu'il me pique ma proie tu peux dormir ici... mais seulement pour cette nuit jusqu'à ce que les choses se calment."

"- Normalement je ne fais pas auberge mais j'ai entendu dire que les gansters du coin recherchaient un japonais fort en arts martiaux et comme je n'ai pas envie qu'il me pique ma proie tu peux dormir ici... mais seulement pour cette nuit jusqu'à ce que les choses se calment."

« Ahh… »

Je re rentre dans l’apart et ferme la porte derrière et jet mon sac par terre

« Dans ce cas pourquoi pas je vais bien rester… mais que se soit clair si je suis ta proie au lit je me fais rarement dominer »

Je commence à faire tomber mon cuir et mon débardeur * bon pour le lavage….*

« Sa te plait cette tenue ? »

J'esquissais un sourire en le regardant de haut en bas puis me dirigeai vers la cuisine.

"- Intéressant. murmurais-je. La salle de bain est au fond du couloir à gauche. lançais-je. Et ne salope rien."

Un plat surgelé, 5 minutes au micro-ondes et hop dîner. Je détestais faire de longs repas qui prenaient deux heures pour au final ne pas les terminer. En attendant la bouffe je m'assis à la table et me versai un verre de vodka ... pour faire passer le temps.

« Ok »

Je passe à la salle de bain pour me décrasser un peu après une bonne douche j’enfile un calbart et reste comme sa avec une clope au bac et revient dans le salon. Je me cale dans un coin tout en allumant ma clope et en restant accroupi la tête en l’air.

« AAAAAAHHHH…. Alors patron on se met pas en tenue légére? la mienne te dérange?»

"- Chaque chose en son temps, cowboy."

Je sortis le plat du micro onde et le mis dans mon assiette.

"- Je ne sais pas toi mais moi j'ai la dalle."

Je commençai à manger et l'observai du coin de l'oeil. Il n'avait pas bougé de sa position initiale. *Au moins cette nuit, il fera un peu plus chaud dans cette baraque.*

"- Tu n'as pas faim ? Non je dis ça pour toi, parce-qu'en cas de panne je te jettes dehors... rien n'est gratuit."

Je tire une grosse latte de fumé sans changer de position

"- Tu n'as pas faim ? Non je dis ça pour toi, parce-qu'en cas de panne je te jette dehors... rien n'est gratuit."
« T’inquiète pas ma belle je mange rien le soir et surtout si je fais de la gym après c’est un coup sur pour vomir… et t’inquiète pas pour la panne j’ai tellement les citrons pleins que j’ai assez de carburant pour la nuit sans relâche… »

Je plonge ma tête entre mes bras avant de me redresse et me mets ensuite en german souplesse ce qui à pour effet de surprendre Sam.

« Quoi ? »

Surprise de ses acrobaties, je me repris rapidement. *Il y a intérêt à ce qu'il me fasse prendre mon pied celui-là.*

"- Arrêtes de faire le pitre, c'est un truc à se coincer une lombaire."

Ayant fini de manger, je mettais l'assiette dans l'évier et passai à la salle de bain. Avant de rentrer je lui lançai.

"- Fais comme chez toi mais ne touche à rien."

Cinq minutes plus tard, je sortai, ayant mis un débardeur propre vu que ma chemise était encore une fois taché de sang.

J’avais pas bougé de position et d’où j’étais j’avais une jolie vue

« Hmm voilà un coquillage a dégusté sans modération »

Je me redresse et me rapproche d’elle

« Je crois que je vais payer ma dette en nature cela convient’il ? »

"- Ca dépend de la qualité du service offert..."

Je ne bougeai pas, toujours appuyée contre la porte de la salle de bain. Je souriais en repensant à ses acrobaties. *S'il est aussi doué au lit qu'en gym, ça promet.* Je l'observai une dernière fois et remarquai qu'une de ses poches était rempli. Je plongeai ma main dedans et en sortai *ooh* des capotes.

"- Tu me l'avais caché ça ?" dis-je en agitant la boîte devant ses yeux.

"- Tu me l'avais caché ça ?"

« Héhé je n’est qu’une devise… sortez couvert… je crains que une boite ne va pas suffire… ahem banzai ! »

Je me rapproche encore plus d’elle

« Pour le service pas de soucie c’est du cinq étoiles enfin a toi d’en jugé je te laisse le choix du terrain et moi je prends les techniques attention je suis très souple… »

"- Rien ne vaut mon lit mon cher et pour ce qui est des techniques je ne demande qu'à voir parce-que là tu n'as fait que parler et si tu continues je sens que je vais m'endormir..."

Je le fixais d'un air de défi et souriais de plus en plus. Quand est-ce qu'il allait enfin passer à l'action, j'en avais marre d'attendre. J'aurais certes pu le faire mais ma devise à moi c'était "je commence les négociations et ils concluent l'affaire".

"- Rien ne vaut mon lit mon cher et pour ce qui est des techniques je ne demande qu'à voir parce-que là tu n'as fait que parler et si tu continues je sens que je vais m'endormir..."

« Ben voilà j’essaye de rendre la situation un minimum romantique et non sa convient bon ben a table »

Je la chope et la porte jusqu'à sa chambre d’où je la jète sur le lit avant de la recouvrire de son corps et en la voyant offrire ces lèvres je me jète dessus telle une affamer sa bouche s’ouvre sans retiens pour laisser ma langue passée un baiser infernal et langoureux nous uni.

Il se jetait sur moi tel un animal affamé.

"- Dis donc ça fait un bail ou quoi ?"

J'entourai son cou de mes bras et ses hanches des mes jambes et le laissai m'embrasser pendant quelques instants. Il continuait à me donner des baisers langoureux tandis que je faisais doucement glisser ma main jusqu'à son caleçon.

"- Dis donc ça fait un bail ou quoi ?"

« Quelque mois… »

J’ai senti glissé sa main dans mon caleçon je la laisse faire

« Tu es si presser desentirle cobra ? »

De mon coté j’avais glissé une main sous son débardeur et lui remonte jusqu’a la poitrine

« Hmmm jolie… »

"- Disons que moi aussi ça fait quelques mois mais depuis hier j'essaie de me rattraper..."

J'entrepris de carresser ses intimités à travers le tissu tout en l'embrassant passionément. Mon autre main avait aggripé ses fesses et il poussa un gémissement de plaisir.

"- Qu'as-tu d'autres à me proposer ?"

"- Qu'as-tu d'autres à me proposer ?"

« tu va voir »

Je descends mes lèvres sur sa poitrine ce qui a pour effet de la faire gigoter un peu et lui faire mordre ces lèvres. Ma main gauche descend vraiment très bas et n’hésite pas à rentrer en contact direct avec son intimité qui va pouvoir goûter la souplesse de mes doigts. Ce qui commence à faire effet en voyant son regard qui par vers le haut, son souffle qui s’accélère et des petits gémissements étouffés qui sort de sa bouche

« Je crois qu’on apprécie la souplesse des mes membres »

Je ne pu m'empêcher de pousser des râles de plaisir bien que ce n'était pas dans mes habitudes. J'essayais de me contrôler mais en vain et je réussis à articuler seulement quelques syllabes.

"- Ne... t'arrêtes... PAS...

Je capturais ensuite ses lèvres brûlantes pour un baiser passionnel et entrepris de déboutonner mon jean, n'en pouvant plus de ses caresses.