Maison de Matthew Harris

Elle le regarda attentivement, il avait l'air heureux. Son rire acheva son opinion. Elle ne l'avait jamais vu aussi réjouis. Elle l'embrassa doucement sur ses lèvres avant de lui dire dans un sourire

"moi j'ai rendu les armes...t'as plus rien a craindre...même si je suis loin d'être un ange pour autant."

Elle continua de le fixer d'un regard tendre pendant un long moment...On voyait encore la neige tomber par la vitre.

On se regardait les yeux dans les yeux, ses yeux brillait toujours, je pouvais appercevoir une petite lueur au fond. Malgrès le froid à l'exterieur, on avait chaud, on s'était rechauffer grâce aux calins qui formaient de la chaleur humaine. Elle m'embrasse une nouvelle fois tendrement, ces lèvres sont douces...

Puis enfin, elle lève les yeux, et m'adresse la paroles toujours avec son magnifique sourire dessinait sur ses lèvres.

K -"moi j'ai rendu les armes...t'as plus rien a craindre...même si je suis loin d'être un ange pour autant."

Je souris à mon tour, repensant quand on était mafioso et qu'on bossait pour Wolfie, qui est maintenant Maire. Murdoc ne s'entend pas avec elle, c'est bien dommage, c'est une femme formidable pourtant.

M - Je ne te craind pas...

Je lui dis ces quelques mots avant de l'embrasser.

Elle posa ses deux mains sur son visage déposant quelques caresses et répondit a son baiser. Elle repensa au moment ou il lui avait tiré dessus...La dernière fois ou elle l'avait vu. Elle frissona un instant, pour elle c'était un peu un mauvais souvenir...

Sans s'en rendre compte, elle laissa s'échapper une de ses pensées à haute voix

"j'ai besoin de toi Matthew.."

Elle se rendit compte de ses paroles et se tut immédiatement

Elle m'embrassa encore une fois, en repondant à mon baiser. Kate semblait préoccupé par quelques choses, mais je ne savais pas par quoi, alors je lui souriai.
Kate dit une phrase à voix haute, qui me fais encore plus sourire que tout à l'heure.

K- "j'ai besoin de toi Matthew.."

C'est donc à ça qu'elle pensais ? Elle a besoin de moi ?
Les chauffages dégageaient beaucoup de chaleur, ou bien c'était moi qui avait horriblement chaud. Je jette un regard vers la télécommande de controle thermique, elle affichait que 20 degrès. C'est donc moi qui est bouillant et pas la pièce.

M - Tu as besoin de moi ?

Elle hésita un instant puis hocha lentement la tête. C'était sortit tout seul sans qu'elle s'en rende compte, mais après tout c'était juste la vérité. Elle le vit regarder la température de la pièce et esquissa un sourire... Même dans la pièce de la buée se formait un peu quand ils parlaient alors il ne devait pas faire très chaud...même s'ils n'avaient pas froid, loin de la.

Elle déposa a nouveau ses lèvres sur les siennes puis murmura

-oui...j'ai besoin de toi.

K- oui...j'ai besoin de toi.

Elle me sort cette phrase juste après m'avoir embrasser. Le contact de ses lèvres me fait du bien, quand elles quittent les miennes, je voudrais qu'elle revienne. Elle me repete qu'elle a besoin de moi, ca me fait énormement plaisir au fond. Je sers donc à quelques chose dans cette ville, je sert à autre chose qu'installer ma politique de merde dans cette ville de pourri. Je suis un politicien ripoux qui veut que Sin City soit un endroit encore plus dangereux qu'il n'est déjà. Les flics, je veut m'en debarasser, et que les habitants de Basin City soit mes proies...mes marionnettes !
J'ai besoin de ma coke tout d'un coup, mes mains tremblent un petit peu, je cache mes mains pour que Kate ne se doute de rien, j'ai pas envie qu'elle sache que je suis encore un accro au substances illicites. Alors pour qu'elle ne voit rien, j'approche mon visage du sien et l'embrasse pendant de longues secondes avant de me detacher d'elle.

M- J'ai aussi besoin d'toi Kate...

Je lui dis ces quelques phrases qui veulent surement tout dire, en lui caressant la joue.

D'un coup elle sentit qu'un poid lui avait été enlevé. Elle ne se sentait plus seule, plus exclue et pensait avoir trouvé une bribe de place sur cette merde de ville. Quand elle sentit Matthew trembler légerement contre elle. Elle prit sa main dans la sienne, en proie au doute et attendit quelques secondes. Elle respira un bon coup puis leva les yeux vers lui, lui jetant un regard brillant ou perçait une onde de tristesse

"qu'est-ce que tu as pris ?"

K- "qu'est-ce que tu as pris ?"

Je lève mes mains, plus besoin de les cacher, elle sait que je tremble...Je fixe mes mains, elles tremblent toujours, il me manque cette putain coke de merde, mais le temps que Kate est ici, c'était mort...Je devais attendre qu'elle parte pour combler mon manque. Il me reste un petit sachet, mais c'est assez pour me nourrir pendant une semaine en prenant tout les jours.

M - J'ai rien pris, c'est nerveux...

Pour sortir ce mensonge, je dois vraiment être con ! Jamais elle allait me croire, on ne tremble pas autant par la nervosité.

M- Ne t'inquiete pas, c'est rien...

Je la sers contre moi pour ne pas qu'elle s'inquiete. Je regarde, par dessus son épaule, la cigarette sur le cendrier qui continue de se consumer. Je la fixe avec envie...

"me prend pas pour une imbécile...je t'ai déjà vu dans cet état la...et la dernière fois ca avait tellement dégeneré que c'était pas beau a voir."

Elle entoura sa taille de ses bras et nicha ses tête au creux de son cou en soupirant puis l'embrassa dans son cou doucement et remonta jusqu'a ses lèvres et ses paupières pour a nouveau redescendre dans son cou. Elle prit une de ses mains dans la sienne.

"K- me prend pas pour une imbécile...je t'ai déjà vu dans cet état la...et la dernière fois ca avait tellement dégeneré que c'était pas beau a voir."

C'est vrais que l'autre fois, j'avais atterris à l'hopital, j'ai même failli crever sur place. La cocaine est très dangereux, quand t'en prend depuis longtemps et assez souvent, tu commences à être totalement paranoiaque. Tu n'as pas faim et tu ressens aucune sensation de fatigue. La cocaine t'excite, cent fois plus que le café. Cette poudre peut aussi te rendre dépressif, tu saignes du nez et commences à avoir des troubles visuels. Ces sympatôme m'arrivent fréquement, je dois faire attention, mais quand t'en prend, tu te sens bien, tu as envie de courrir de partout, tu as la pêche ! La forme !

M -C'est pas beau à voir, vraiment ?

Je fais entendre un leger rire, ça m'amuser de la voir s'inquiéter.

M- Je ne peux pas arrêter mes conneries, j'y suis accro !

"alors ne les arrêtes pas mais modère les."

Elle précipita ses lèvres contre le siennes et lui caressa la joue puis esquissa un léger sourire

"j'aurais préféré que tu sois accro à moi tu sais"

Elle repensa aux derniers dérapage de Matthew. Il était presque devenu aveugle sur l'instant et elle était resté le veiller. Elle embrassa doucement sa main qui tremblait toujours plus puis lui enleva ses vetements jusqu'a sa chemise et défit un bouton de celle ci pour l'embrasser sur sa peau

"j'aurais préféré que tu sois accro à moi tu sais"

Je lui souris sans lui repondre, je pensais qu'elle savait déjà ma reponse et de ce que je pensais d'elle. Elle m'embrassa la main qu'elle me tenait ,et m'enlève mes vêtements. Elle jette mon imper' et mon costard sur le fauteuil le plus proche, puis fini de m'enlever la chemise.
Pendant qu'elle me deshabille, je fais de même. Je lui retire ses vetement.

Et tout ça dur pendant de longues minutes,voir plusieurs heures, deux pour être précis. On continue les préliminaires avant de passer à l'acte. Ces moments était intense, des semaines entières que je n'avais pas toucher à une femme. Des longs moments où je me suis empecher de sentir le parfums de l'une d'elle et de sentir leurs lèvres sur les miennes. Puis quand tu l'a fais, tu te sens mieux...

On était allongés sur le lit dans l'obscurité, sans lumières, à part celles du quartier qu'on voyait à travers la vitre, et qui illuminait legerement la pièce. J'étais allongé sur le dos, et elle était sur moi, la tête contre mon torse. Je regarde le plafond, et dis à Kate que je l'aime avant de l'embrasser sur le front.
D'après le radio-reveil, il était minuit trente-deux, la neige n'avait pas cessé de tomber depuis tout à l'heure. La buée était sur la vitre, cela montrer que dehors il faisait très très froid.
On est la veille de Noel, la ville n'est presque pas décoré, même le cimetière l'est plus. C'est bientôt mon anniversaire, je vais avoir un ans de plus, et rien de me faire à l'idée que je vieillit, j'en chiale presque et ça me degoute. Je deviens vieux, je vais commencer à avoir des rides qui vont se creuser encore plus.

Elle l'embrassa une dernière fois avant de le serrer contre elle.

"je t'aime aussi"

Puis elle rabattit une couverture sur leurs deux corps et regarda par la fenetre la neige qui tombait sans cesse... C'était tellement rare... Elle entrecroisa ses doigts à ceux de Matthew machinalement et observa chaque flocon dans sa chutte. Au loin quelques cris de chiens se fesait entendre. La lune les éclairait au visage et les lumières des reverberes penetraient avec mal a cause de la buée qui formait un rempart...Elle jeta un coup d'oeil a un appareil qui clignota contre le mur. Il donnait la température...15°.C'était la nuit, il se mettait en veille. Pourtant elle n'avait pas froid. Elle caressa le visage de Matthew

"tu es trop beau pour être réel tu sais ?"

Elle s'était sentie liberer pendant les quelques heures qu'ils avaient passé ensembles. Se sentant vraiment une femme dans ses bras. Elle s'était sentie en paix, l'âme et l'esprit tranquille.

Elle me caresse le visage, et me dit quelques chose qui me fait plaisir et sourire :

"tu es trop beau pour être réel tu sais ?"

Kate mets un peu de bonheur dans ma misérable vie, même si je suis pleins aux as, je n'ai pas tout ! Quand on vieillis, on se rend soudainement compte que l'argent n'ait plus rien , on recherche ce qu'il y a de rare dans cette ville, et comme tout les autres : L'amour. Malheureusement, l'amour est rare, la mode d'aujourd'hui c'est plutôt le sexe, mais je peux vous dire que ce que je ressens pour Kate, ce n'est pas sexuel mais de l'amour.
A l'interieur de la maison, il fait plus chaud que tout à l'heure, la température avait surement augmenté depuis ces dernières heures. On était sous la couette, j'ai le torse nu et elle les seins à l'air. Elle a sa tête blotti contre mon torse, pendant que moi je caresse ces formes.

-Donc tu penses que je suis un de tes rêves ? lui murmurais-je à l'oreille

Je lui souris et continue de caresser son corps nu.

Elle esquissa un sourire a sa question. Pour elle il était bien plus qu'un simple rêve et pourtant ce statut lui convenait réellement bien...mais un rêve est éphemere et ne vit qu'une nuit. Un rêve qui prenait forme dans la vraie vie n'était-ce pas ce que l'on peut appeller le paradis ?

Kate releva doucement la tête jusqu'à atteindre ses lèvres qu'elle embrassa doucement puis murmura d'une voix douce

"Si au lever du soleil tu es toujours ici, tu seras bien plus qu'un rêve...même si dans mon coeur tu l'es déjà."

Elle sentit ses longs cheveux bouger un peu quand elle leva sa tête et s'évaser sur le corps de Matthew...La pièce fut pourvue d'un silence puis quelques gouttes de pluies se firent entendre sur les vitres...avant de lacher un torrent de fines goutellettes d'eau. On n'entendait plus que la pluie qui martelait la maison et la respiration de Matthew et Kate. Elle était a présent certaine de son amour pour lui...même si après s'être enfuie elle avait essayé de le nier au plus haut point, maintenant elle ne le cachait plus et se sentait bien, nichée au creux de ses bras.

Le temps avait changé en quelques minutes, passant par une pluie de quelques gouttes minables à une réelle tempête, mais rien de très grave, ça n'allait pas casser les carreaux. Kate est peut-être la seule personnes avec qui je me sens bien, elle me fait oublier pendant l'instant de quelques heures, ce qui se passe dans ce monde : La violence , la haine , les gens completement bizarre, les dealers...Le monde malsain quoi !
Je fixe le plafond, noir par l'obscurité, et pense à divers chose. Des instants de ma vie, la mort de mes parents, il me manque. Mon anniversaire est dans quelques jours, je ne me souviens plus de la date tellement je ne l'ai plus fêter. D'un coté, je hais les fêtes. J'étais seul pendant toute mon adolescence, à errer dans les rues.
Le seul moment où j'ai était bien, c'est quand j'ai eu un gosse, mais après les galère ont suivit, je me posais toujours cette question : " Comment on va faire pour le nourrir ? "

Alors pour mon gosse, j'ai tout fais, j'ai racketté, tuer, voler l'argent des banques et tabasser des bonnes vieille femmes, tout ça pour que mon gosse ait à manger et tout le necessaire pour vivre. Difficile d'élever un enfant quand on a 16 ans, on évite les services sociaux parce qu'on l'aime...

Je reconcentre mon attention sur Kate, je lui carressait les cheveux avec douceur. Ces cheveux sont doux et elle sent bon, son parfum fait rever.
Quand je lui parler, je lui murmure toujours à l'oreille, histoire de rendre le moment encore plus tendre et parfait.

M- Reste avec moi...

Kate l'écouter parler, étonnée d'entendre ces paroles venant de lui.. Elle pensait la même chose de son coté mais croyait qu'au final entre ses histoires pas très nettes et elle, il la laisserait tomber. Mais maintenant qu'il lui posait la question, elle se sentait rassurée... Il avait peur de la perdre tout comme elle avait peur de le perdre. Elle caressait ostanciblement sa joue en réfléchissant a sa réponse...puis une pensée lui remonta en tête... ça allait être son anniversaire...Matthew allait avoir 33 ans. Ils avaient a peu près 7 ans d'écart. Elle se décida a lui répondre

"Je serais avec toi tant que tu ne me demanderas pas de partir..."

Elle l'embrassa furtivement et fit un sourire

"...et si tu me dis ce que tu veux pour ton anniversaire !"

Elle me disait qu'elle sera toujours à mes coté le temps que je ne lui dirais pas de partir, à ses mots, je sais qu'elle resteras toujours avec moi, parce que je ne suis pas pret de lui dire de s'en aller. Puis elle m'embrasse toujours avec ses délicieuse lèvres qui m'emmene en dehors de moi, et les accompagne avec un sourire, avant de dire ses quelques mots .

...et si tu me dis ce que tu veux pour ton anniversaire !"

Ces quelques mots sortit de sa bouche me fait sourire, je ne m'y attendais pas à ce qu'elle sache que je feterais mes 33 ans bientôt, ni à ce qu'elle s'en souvienne. Je ne comptais pas vraiment à ce qu'elle m'offre de cadeau qui ne définissent rien. Un cadeau, c'est matériel. Je reflechis longuement, fixant le sombre plafond, quelques peu éclairé par les lampadaires de la rue. Je sors finalement une phrase en murmurant

M- Je ne veux rien...juste toi

"mais tu m'as déjà"

Elle le regarda doucement. Même s'il disait ne rien vouloir elle lui trouverait peut être quelque chose... Pour elle un anniversaire était significatif, chacun était unique, on ne revivait jamais la même année même si tout se semblait tellement similaire à Sin City.

Quand elle était petite sa mère lui avait offert un chien. C'était lui qui lui tenait compagnie quand elle était seule et qu'on l'abandonnait a son triste sort, elle lui trouverait certainement quelque chose qui l'emplirait de sa présence en son absence alors.

Pendant qu'elle se perdait dans ses pensées, la pluie s'intensifia et le tonerre commença a gronder. Elle émit un léger tremblement en voyant les arbres s'agiter et se plier en deux sous la force du vent

"- mais tu m'as déjà"

Je ne souriai plus et reportais mon regard sur ce qui m'aider à me souvenir de certains passage de ma vie : le plafond. Je bloquais dessus, on y voyait les ombres des arbres et leurs feuilles qui bougeaient sous l'effet du vent. Je repensais ensuite à mon ex- femme, mais pas positivement. Elle m'avait quitter du jour au lendemain avec mon gosse à peine agée de quelques années, pour aller vivre au Japon, dans la merveilleuse ville de Tokyo. Elle m'avait laché, j'étais seul et sans repère après toutes ses années, et je ne veux pas qu'il nous arrive la même chose à moi et à Kate.

- Aujourd'hui, oui. Qui sait ce qui peut nous arriver demain matin. Tu m'aura peut-etre laché...

Je ne dis plus un mots, les phrases que j'avais dites n'était pas offensive, je ne voulais pas la blesser, juste dire la vérité. Les gens a Sin City changent de jours en jours, ils peuvent être tes amis le lundi, comme te tuer le Mardi, c'est assez effrayant tous ça quand tu sais qu'il ne faut compter sur personne pour survivre, faire confiance qu'à soit même, parce que les gens te mettent des coups d'fourchettes derrière ton dos, tout pour te faire tomber

Je repense à tout ça, mais continue de carresser les doux cheveux de Kate en attendant sa réaction...

Kate se crispa instinctivement sous ses paroles. Elle n'aimait pas que l'on doute d'elle, déjà qu'elle n'avait pas vraiment confiance en elle même. Elle ressera son poing et se tut. Elle était persuadé qu'il avait tort mais il ne fallait pas qu'il la fasse hésiter. Elle le regarda dans les yeux pendant un long moment puis fini par prendre la parole, sachant que son petit cocon de paradis pouvait lui exploser a la figure a tout moment. Sa voit tremblait un peu

"Tu m'as et tu m'auras toujours, tant que tu le veux. Y'a que la mort qui peut nous séparer...et encore moi ça m'éloignera pas de toi."

Elle se tut a nouveau pendant un moment et continua de regarder dehors la petite tempète qui avait lieux. Jamais elle n'avait fait de véritable promesses a quelqu'un, jamais elle n'en avait respecté une et pourtant, celle la elle savait qu'elle n'aurait aucun problème a la tenir...

"je t'aime...tu sais ce que ça veux dire ?"

Un de ses poings était toujours serrés et de son autre main elle attrapa celle de Matthews et entrecroisa ses doigts aux siens.

"c'est pas des paroles en l'air"

"c'est pas des paroles en l'air"

La réaction de Kate ne m'avait pas surprise du tout, l'ancienne Kate semblait toujours en elle, et ne dit rien. Sans commentaire. Ces mots m'avait touchés, elle semblait très attaché à moi, mais surement pas autant que je le suis pour elle. Je lui souris ensuite, après quelques longues seconde, et la regarde.

-Escuse-moi...

Je lui prend gentiement sa tête et la pose sur mon torse, posant la mienne sur la sienne et lui caresse le bras. C'était mon pouce qui caressait sa peau, elle avait la peau douce, comme celle d'un bébé.

- Je te fais confiance...

Elle se décrispa lentement et regarda la vitre puis emit une réponse d'une voix plus légère.

"j'espere bien !... attend une seconde"

Elle se releva doucement et se dirigea vers la vitre ou elle poussa les rideux pour ne plus voir la mini tempete. Elle revint rapidement se coucher mais son corps était déjà gelé. Maintenant il n'y avait même plus de lumière dans la pièce, tout était sombre