Maison de Matthew Harris

"Tu sais d'quoi j'suis capable je crois... où alors tu m'connais pas assez bien..."

Je lui souris, les deux meilleurs pote de Sin City sont en guerre, tous ça pour une meuf. Mais c'est la mienne, et je ne la laisserai pas crever, même si je dois y rester. J'ai mon coeur qui bats, la peur que je ne connais plus depuis longtemps, depuis deux ans.
Soudain, Kate me lance une phrase, me demandant d'arrêter mon acte suicidaire. Je ne l'écoute qu'à moitié, je recule de deux centimètre.

"- Ouais, j'sais de quoi t'es capable, je te connais suffisament pour te dire que tu es pas dans ton état normal. !"

Je plis mes autre doigts de ma mains droite, sauf l'index, que je fourre dans le canon du flingue de Murdoc, je rentre mon doigt dans le canon, le ressors et refais plusieurs fois cette action, un acte provocateur peut-etre...Mon index rentre et sort du canon comme mon sexe dans celui d'une femme.

-Allez, baisse ton flingue...

Je lui souris nerveusement.

[HRP: je suis mort de rire ^^]

Kate regarda matthew faire et n'en supporta pas plus. Elle fit un effort surhumain pour se relever malgrès et la douleur et se dirigea douement vers Matthew qu'elle poussa. Elle bougea de quelques milimètres, assez pour que ce soit elle qui soit contre le pistolet. Les larmes coulaient sur ses joues.

"Mais arrête espece d'imbécile !"

"Toi, tu la ferme. T'attend ton tour !"

*J'lui fous une gifle et j'l'envois valsé. J'vise le bras d'Harris et j'tire. Les gardes nous regardent, ne sachant pas s'ils doivent intervenir. J'me déplace bien lentement les flingues toujours pointés, j'prend les armes d'Harris et j'les envois valsé dans les buissons.*

"Harris, tu m'as beaucoup deçu..."

*J'regarde Kate... J'la prend par les cheveux et j'l'embarque.*

"Toi, crois moi qu'j'vais pas y aller rapidement..."

*J'lui r'fous une baffe, elle pisse le sang par la jambe*

"Toi, tu la ferme. T'attend ton tour !"

Ce connard de Murdoc me fout une putain d'gifle, ça me suprend plus que ça me blesse, je tombe comme une merde sur le sol. Je retombe sur le dos, j'ai l'habitude de me prendre des coups dans les reins, j'adore ça à force, Yes, I am sadomaso ! ^^
Murdoc me vise le bras, je m'attendais pas à ça non plus, putain d'merde, il est incontrolable. Mes gardes ne foutent rien, comme d'habitude, il glandent. Murdoc s'avance, prend mes flingues les jete, et je le regarde avec un air méchant, un regard de tueur qui se fait rare, même à Sin City.

"Harris, tu m'as beaucoup deçu..."

Il prend Kate par les cheveux cet enfoiré, et marche jusqu'à la porte principal pour sortir.

"Toi, crois moi qu'j'vais pas y aller rapidement..."

C'est après qu'il lui est foutu une baffe que tout à derailler, laissant m'envahir la bête qui est en moi. Mes yeux vert-marron sont devenu rouge, une haine de taré. La même qui peux te faire oublier que tu as mal au bras pour sauver au secours de la belle.
Je me lève tel un léopard, et saute sur Murdoc, qui me tourne le dos. Il est tombé à terre, je suis sur son dos et sort mon couteau avant de le pointer vers sa gorge. Un geste de plus et il est crevé.

- Murdoc, ne me fais pas commettre un meurtre que je regretterai...

Kate avait été projetée au sol quand Matthew avait sauté sur Murdoc. Elle avait mal et peur, mais pas pour elle, pour Matthew... Elle commançait a perdre conscience, une grande marre de sang se formant autour de son corps...

Sa main se posa doucement sur celle de Matthew qui tenait Murdoc puis elle ferma les yeux.

Ma voiture se gare a deux paté de maison de celle de harris, si murdoc est là, mieu vaut qu'il ne m'entende pas arriver. Je regarde julie.

- Ecoute julie,je veux que tu reste là. Et toi chauffeur, si d'ici un quart d'heure je suis pas de retour, retourne a la mairie et met cette fillette en surté.

Sur ce je sors de la limousine et me met en marche. Sur la route qui mène a la maison de harris je vérifie que mon desert eagles est bien chargé. Je fini par arriver devant la porte qui est entre-ouverte. Au moment ou je m'aproche j'entend un coup de feu a l'interieur. Non murdoc j'espère que tu a tuer personne, j'ouvre alors vite fait la porte, l'arme pointé vers l'interieur et j'vois harris qui saute sur murdoc. Il sont trop occupé a se battre pour me remarquer. Moi par contre je remarque bien kate qui est allongé par terre. Elle dort aparament, elle a du tomber dans les pommes. Je m'aproche de murdoc et lui envoi un gros coup de poing dans la figure, il tombe par terre avec harris qui est au dessus de lui. Je prend kate par le bras et la tire vers l'exterieur avant de me retourner vers murdoc et harris.

- J'ai assister a des tueris entre amis, la bas, à Berlin. Mais jai jamais vu d'aussi bon amis que vous se faire se que vous vous faites. J'ai jamais vu quelques chose d'aussi dégueulasse.

Je met mes deux amis en jou pour être sur qu'il ne tente rien contre moi.

J'etais en train de convaincre Murdoc d'arrêter, mon armes toujours pointé sur sa gorge, jusqu'à ce que Wolfie debarque et mets un coup d'poing à Murdoc, qui se retourne. Moi je roule sur le dos parce que j'étais sur lui. Il prend Kate, j'espère seulement qui va pas la tuer lui aussi, j'espère ne pas être le seul à maintenir Murdoc, j'espère ne pas être considerer comme un ennemi de nouveau, trop de bon souvenir pour s'entretuer.
Je me lève sur mes deux jambes pendant que Murdoc est toujours au sol, et fixe Wolfie, d'un regard limite noir, mais j'avais plus confiance en lui qu'en Murdoc, surtout dans cet état là.

- J'ai assister a des tueris entre amis, la bas, à Berlin. Mais jai jamais vu d'aussi bon amis que vous se faire se que vous vous faites. J'ai jamais vu quelques chose d'aussi dégueulasse.

Je l'ecoute attentivement, en jetant un bref regard à Murdoc. Puis regarde Wolfie.

- Wolfie, je ne fais que me defendre...

Il ne fesait que se defendre... Sa ne m'étonne pas, j'me douté que murdoc allait foutre la merde, il a toujours détesté kate, depuis qu'elle est arrivé dans la mafia et que j'leur est dit de bosser ensemble. Il lui a mit une balle dans le pied ce jour là.

- Bon harrisj j'en ai rien a foutre. Tu peut te defendre sans moi, par contre kate a l'air mal en point. Je l'emmène.

Je sors mon portable pour apeler le chauffeur de la limousine qui vien se garer devant la porte de chez harris quelques secondes plus tard. Il sort de son véhicule et vien cherché kate qu'il pose vite fait sur la banquette arrière. Je recul jusqu'à la limousine tout en gardant les deux hommes en vu. Au bout d'un moment, je monte dans le véhicule qui demarre assez vite.

- Bon Harris, j'en ai rien a foutre. Tu peut te defendre sans moi, par contre kate a l'air mal en point. Je l'emmène.

Quand il part, je ne sais plus quoi faire, Murdoc est rester à terre, pendant près de cinq minutes, je le fixe, et me sentais mal. J'ai frappé mon meilleur pote, il m'a tiré dessus certes, mais bon...Il faut le comprendre, il a oublier encore une fois de prendre ces medoc'. C'est comme moi quand je fume pas des joints, je me sens mal, je suis comme un chien qui a la rage, j'en bave si j'ai pas ma drogue. Je suis debout toujours en train de le fixer. Il ne bouge plus, à croire que Wolfie lui a mis une sacré patate dans la tronche. Je lui souleve le menton, il dort, et je rigole de l'interieur, pauvre Murdoc, tu mérites pas ça...pire même ! ^^

Je prend une boite en plastique, toute neuve,que je sort d'un tiroir, le même où je place tout mes calmants, je prend la boite d'une main et lis sur les ecrits dessus. "Calmants pour éléphant ", je me demande ce que ça fous ici...C'est bizarre mais je m'en tappe. Je lui ouvre la bouche et lui rentre qu'un seul comprimé, vu la notice, ça endort un éléphant...
Je lui rabaisse la tête et sors de chez moi, en laissant Murdoc chez moi.

Avant de rentrer dans ma bangol, je recupere mes joujoux dans les buissons et les mets à ma ceinture. Je rentre dans ma bagnol, met le contact.

Direction : L'hopital St Jimmy...

La voiture part de SACRED OAKS

[merci d'controler mon perso ! c'est moi qui decide si j'me suis endormis ou pas !]

Dans la baraque du sénateur le téléphone se met a sonner dans l'vide. Puis l'répondeur s'enclenche et on entend la voix d'Kurt résonner dans la piece

répondeur:

Kurt Anderson a écrit:

-M'sieur l'sénateur, c'est ton locataire, c'est pour t'dire que j'suis a l'appart si tu veux déposer la commande. Puis j'ai d'quoi d'payer l'loyer en plus. Au plaisir de t'revoir

Un bip signal que l'message est finit.

Au bout de 10 minutes, nous sommes enfin arrivé du casino. Mes gardes sont toujours là, a guetter dans les moindre recoin du pavillion. Ils sont balaise, il ont déjà penser à m'acheter des nouveaux dobermans, des gros molosses et 2 rottweiller, avec ça, j'aurais peut-etre plus besoin de gardes, ces chiens sont meilleurs qu'eux.

Je depose Kate dans le lit de la chambre à coucher et lui prepare un verre pour soigner ses maux de tête. Je lui prepare absolument tout de ce qu'elle a besoin : verre d'eau, sandwichs, flingue au cas où....
Je la couvre comme aurait fait mon père il y a plus de 15 ans, quand j'étais gamin, sauf qu'il est mort avant.

Je suis debout devant Kate qui est allongée.

Ca va aller ?

Kate lui fit un large sourire en le voyant autant s'activer pour elle... Elle n'avait pas besoin d'autant de soin, mais elle trouvait cela adorable de sa part. Quand il eut finit toutes ces petits manoeuvres et qu'il se planta devant elle, elle se redressa un peu, attrapa son bras et le tira vers elle de manière a ce qu'il retombe sur le lit puis l'embrassa doucement.

"ça va aller. Tant que tu es là...et je suis enceinte, pas impotente..."

J'étais à present sur elle, elle m'avait tiré par le bras, et je lui souris. Elle m'embrasse encore une fois de plus, je ne compte plus les baisers que l'on s'est echangé, tous aussi tendre et plein d'amour que les autres.
Je la regarde dans les yeux pendant qu'elle me parle.

"ça va aller. Tant que tu es là...et je suis enceinte, pas impotente..."

Je lui souris...un peu géné à vrai dire. Je devais la laisser un moment, juste le temps que je m'occupe du type au Kadie's. Il m'attend depuis longtemps, et cela doit etre important vu le ton dont il m'a prevenu au téléphone.
Je continue de la regarder, avec le meme gene, et fixe autrepart en lui adressant ces paroles :

- Kate, est-ce que je pourrais te laisser seule pour quelques minutes, voir une heure ? J'ai un rendez-vous très important...

Je pensais qu'elle allais refuser....

En entendant ses paroles, Kate soupira longuement. Il était toujours appelé ailleurs...les trois quart du temps à des endroits où il risquait ça vie et ça lui déplaisait plutot, mais elle ne pouvait pas le contraindre a sa volonté. Elle posa sa main sur sa joue puis murmura d'une voix plus douce.

"vas-y, mais reviens au plus vite...et fais pas de conneries"

Elle esquissa un doux sourire. Elle plus elle lui répétait de ne pas faire de conneries et plus il en fesait a chaque fois, mais pour elle c'était presque devenu un principe de lui dire cela.

"- vas-y, mais reviens au plus vite...et fais pas de conneries"

Je lui souris et l'embrasse lentement sur la bouche, toujours avec cette extreme tendresse auquel je suis habitué à lui donner.

- Je t'aime !

Je me lève et va rapidement changer mes vetement. J'enleve mon imper', ma veste, ma chemise, pantalon et en mets des tout neuf, et je change meme les chaussures ^^.
Je fous tout ça au linges sales, puis, pendant que Kate ne me vois pas, je prend un paquet de clope tout neuf que j'introduis dans ma poche interieur de mon nouvel imperméable. Je vais dans la salle aux armes : Je prend un nouveau gilet par balle, des nouvelle munitions et change de pièce toujours furtivement, j'étais pressé...
Je prend trois liasses de billet de 100 $ et sors de la maison en courant.
J'appuis sur le bouton de ma télécommande, celle qui ouvre automatiquement toute les portière de ma caisse. Je rentre dedans, ça sent le cuir neuf, et ça me fais sourire.
J'allume le contact et en moisn de 5 secondes, j'étais sortis de la grande avenue avec un enormement bruit df'acceleration. C'est voiuture est très très sportive ! ^^

Kate se reposa un long moment, très long moment, puis l'ennui eut raison d'elle. Elle attrapa l'arme que Matthew avait posé a coté d'elle, enfila une tenue plus chaude, attacha ses cheveux, mis un sac sur son dos plein de choses necessaires puis prit la poudre d'escampette.

Deux japonais habillé en homme de ménages arrivérent devant l'apartement de Harris

[Siiu]: "C'est l'apart du pére de Kenji"

[Ouzinuza]: "Executons ses ordres à la lettre..."

[Siiu]: "Ouais...laisse moi fair..."

Siiu se mit prêt à la hauteur de la serrure et la trafiquota avec des crochets en tout genre puis la porte s'ouvrit

[Siiu]: "Et voila le travail!"

[Ouzinuza]: "Vite installons ses micros avant que sa femme ou même lui revienne!"

[Siiu]: "Ouais"

Ils pénétrérent dans l'apartement et instalérent des micros partout

[Ouzinuza]: "Voila! Vite cassons nous d'ici maintenant! Sur le champ! Mais qu'est que tu fiche bordelle! Allez arrive!"

Ouzinuza se retourna pour observer avec effroie son partenaire mort...par terre...cribler de balles

[Ouzinuza]: "Ahhh Siiu! "

Il releva la tête pour voir...les gardes de Harris

[Ouzinuza]: "Oh bordel..."

Alors que le gardes fonceait sur lui à toute vitesse il dégaina son silencieux emplie de calmant et tira six balles dans leur torse pour qu'il s'endorment

[Ouzinuza]: Putain de merde...faut que je me casse de cet endroit....

Ouzinuza se précipita vert la sortie...mais hélas pour lui il glissa sur la marre de sang de son partenaire et fut projeter de l'avant pour allez se craquer les cervicalles contre la porte entrouverte et mourire sur le coup...

Après quelques minutes de route, je dépose la voiture dans mon garage avant de rejoindre l'entrée de chez moi, une clope au bec. Je suis carrément gélé, la neige était tombée sur moi et était prete à me transformer en bonhomme de neige. Je suis frigorifié jusqu'aux os, et rentrer chez moi me soulage, une fois la porte traversée, je suis ensevelit par la chaleur interieur du pavillion.
Je claque la porte derrière moi, pose ma veste sur le porte-manteau et jette les clés sur le bar. Je marche le long du salon quand deux gardes viennent me prevenir de quelques choses qui va me mettre en rogne. Il m'annonce que deux individus avaient pénétré le secteur, ils ont eu le soin de me preciser que c'était deux asiatique. Je les remercie aussitot, et commence à patrouiller avec mes gardes dans la maison, pour vérifier si rien n'a été volé.

Un bon quart d'heure plus tard, on se rejoind au milieu du salon pour faire un bilan de la partrouille. Ils me disent que rien n'a été voler, que tout est en place au moindre centimètre. Je les remercie une fois de plus. Ils partent dans une direction et moi dans une autre...Je suis sur qu'il y a un truc de volé.
Un peu plus tard, je m'appercois d'un truc et soupire de dégout. Je m'apercois que quelques micro sont dans ma chambre et dans les autres pièce. PARTOUT !
Je les prend un par un, les jette sur le carrelage et les écrase avec le pied. Je reffait une ronde pour m'assurer qu'il n'en reste aucun et m'assois sur le fauteuil, la meme clope toujours au bec.

Tout d'un coup...une dizaine de japonais débarquérent dans la maison du sénateur en mitraillant tout l'apartement de leur fusil d'assaut en tuant tout les gardes d'harris

[En japonais:] [Yotoko]:La femme! Kenji à dit de kidnaper la femme!!!

Un autre japonais attrapa Kate par les cheuveux et l'emporta en dehors de l'apartement

[En japonais:]: [Yotoko]: Ve te fair foutre Harris de la part de ton fills Kenji!

Il prit un marteau sur la table et frappa d'un énorme coup la tête de Harris qui s'évanouit puis il se cassa avec les autres dans une voiture qui démara à toute vitesse et partit au loin avec Kate dedant

Putain de Merde...
Je me reveille quelques vingtaines de minutes plus tard, sur le sol près de la porte, avec un mal au crâne. Putain ! Je n'ai rien pu faire, ils étaient trop, mais aussi trop rapide. C'est quand je me lève que je m'apperçois que mes gardes sont étendues par-terre, trouées d'partout comme du gruyère, sauf qu'eux se mange pas. Je les regarde avec dégout, putain d'fils...Il a osé m'attaquer avec ses potes ! En ce moment, je regrette de plus en plus d'avoir fais un gosse et que sa mère l'ai chier. Si j'aurais su ça, j'aurais mis une capote. Y'a des jours où j'aimerai être un curé, eux, n'ont pas à payer à cause de ça, parce qu'il ne font pas l'amour, donc pas d'gosse. J'les envie maintenant.

J'appelle avec mon portable la femme de ménage, et ordonne qu'elle se ramène au plus vite, et lui annonce qu'il y a du rangement à faire. Sans entendre sa reponse, je raccroche, completement buté par ce qu'il vient de se passer. Je pousse les cadavres de l'entrée, de sorte à ce qu'il ne me gene pas à moi, et à cette conasse de femme de ménage...Je dois avouer qu'elle est bien pratique...

Je voyage un peu partout dans la maison pour prendre quelques affaires : Shit, Papier à rouler, Tabac à rouler, Katanas, Gilet en Kevlar et un nouvel imperméable parce qu'il fait froid en cette saison...
J'enfile tout ce bordel, et mets dans ma poche le Shit et autre objet pour me rouler un Spliff. Je prend les Katanas en main, un à la droite, un à la gauche et sort de la maison en laissant la porte ouverte pour la connasse puisse rentrer faire le boulot.

Arrivé à mon vehicule, je depose les Katanas dans l'coffre avec le fusil et les grenade. Je ferme le coffre et me deplace jusqu'à la portière du chauffeur, donc ma place...
Mais quelques chose attire mon attention ; des traces d'huile se trouvait sur la route, de l'huile fraiche...Avec un peu de chance, elle me menera jusqu'a mon fils.
Je rentre dans la caisse, la demarre et suit les gouttes d'huiles tracés sur la route.

Le gang de Kenji, La ferme

Hopital St-Jimmy

Plan de la baraque

Après avoir garer la voiture dans mon garage, j'entre chez moi pour me poser et reflechir un peu à ce qui viens de ce passer durant les quelques dernière heures. Trop de choses dont je pourrais me passer, des embrouilles à oublier, et à essayer d'arranger pour que mon fils ne retente pas de se suicider. J'ai vraiment envie de renouer les liens avec lui, seulement...Kate ne pourrait pas l'accepter et donc me quitterait...

Je suspend mon imper' au porte-manteau, et depose mes armes à feu sur le bar, près des bouteilles de Vodka et autres alcool avec qui j'aime bien passer des nuits folles et à devenir raide défoncé. Je rejoind la salle des armes et prend quelques munitons pour mon Desert-eagle et Magnum. Je les depose sur le bar, juste à coté des flingues puis, pendant que j'y suis, je m'enivre de deux verres de Vodka que je bois cul-sec.

Ensuite, je passe par la salle d'entrainement et commence par m'échauffer avant d'attaquer la musculation et combat sur cibles à mains nues.
Je me mets devant un énorme punching-ball accroché au mur et commence à le boxer et à faire des kicks jusqu'à à en transpirer.
Je passe par la douche après l'entrainement et change mes vetements pour une tenue plus décontracté : Chemise à l'italienne noire, costard noir...tout en noir sauf la cravate blanche. Je laisse ma chemise entre-ouverte, j'ai le look parfait du Parrain de la Mafia Italienne.

Je passe par mon "tirroir à bijoux" et en tire une boite de 5 cigars gros comme deux index. Je mets la boite dans ma poche et en profite pour confier une mission à mon pote Kurt Anderson. Je lui demande de tuer le comissaire Olroy, il accepte, et tant mieux ! Après ce coup d'fil, je prend tout ce que j'ai à prendre chez moi puis sort direction l'Eglise de Sin City.

L'Eglise de Sin City, Sacred Oaks

L'autoroute du retour...

La limousine vient de me laisser au bord du trottoir avec mes affaires à la mains et notament le coffre à souvenirs de New-york, avec à l'interieur : des doigts... Je marche vers la porte d'entrée tout en examinant les clés de l'appartement dans ma main droite, cherchant la bonne clé qui ira avec cette serrure de merde...
Mais la, je suis dans une bulle " noire", je suis face à moi-même avec des problèmes gros comme la lune. Cette balle dans la tête m'a causé de nombreux dégat, comme l'amnésie par exemple et la paranoia. Resultat je ne sais meme pas si c'est vraiment ma maison, et je n'ai pas la certitude qu'il n'y'a pas de bombe à l'interieur...
Alors, je reste dehors, sous la pluie glacial qui fait les chute du Niagara sur ma gueule de petit enculé. Mes fesses sont bien gentiement assise le banc d'en fasse à l'écart et m'inventant des trucs incroyable comme si on voulait me tuer... (c'est p't'etre vrai mais bon...la c'est d'la paranoia ! )
C'est donc au bout de vingts longues minutes sous la pluie que je rentre chez moi, au péril de ma vie, mouillé jusqu'au slip !

J'arrive chez moi et depose mes affaires mouillés dans l'seche-linge. A priori, pas de bombe...Pas de tic-tac...pas de BOOOUMM...
J'bois deux bols d'alcool ( exactement...j'ai très soif ! ) après mettre changé de la tête au pied.
J'passe par les salle des armes...et d'ailleurs je ne sais meme pas pourquoi j'y vais...C'est temps si je perd la tête...
Je traverse la maison et nourris mes chiens avec ce que vous savez. Ils ont l'air heureux, et le bonheur des chiens passe avant tous par son maitre. S'il trouve ça bon, j'suis content !!
Je marche et marche encore à travers la maison,, j'suis surexcité et je sais meme pas ce que je fais ,et l'impression d'être en taule me reviens. J'ai soudainement une crise d'angoisse...Merde faut que prenne l'air !

Je prend un nouvel imper' et me tire de chez moi, à pied, direction :...J'verrais !

Kate et Matthew arrivèrent, main dans la main, dans la maison. Kate pénétra dans la pièce principale et posa l'enveloppe contenant les écographies sur la table, puis ota sa veste en jean, bien légère pour le rude hiver. Elle s'approcha de Matthew et lui enleva doucement sa veste en l'embrassant en même temps puis alla accrocher les deux vêtements à un porte manteau.

"Il serait peut être temps d'aller se reposer tu ne crois pas ?" murmura t'elle doucement.