Maison de Matthew Harris

Harris reviens avec deux biere et m'en jette une.

- Ah super, bien jouer.

J'ouvre ma canette et boie une gorgée. Sa fait du bien un peu de repos. Et puis j'me remet a penser au gars qui a attaquer harris tout à l'heure au kadie's. Je caresse la baramine en me disant que je lui aurai bien carer dans son trou du cul.

- Dit moi, tu connaissais le gars qui t'a exploser avec sa tout à l'heure. Il avait l'air de vachement t'en vouloit.

Je souris

- Tu te serai tout de même pas fait sa femme?

Je boie à nouveau une gorgée et me penche à demi coucher dans le fauteuil. Les gardes me regarde, ou plutot regarde ma biere. Je la lève comme pour leur porté un toast et je reboi. P'tin j'm'amuse comme un p'tit fou.

Il me tend son paquet, je prend une clope et la met a ma bouche. Je commence alors a fumer et, illico, je tousse comme un fou.

- Comment tu peut fumer sa. J'ai jamais fumer de ma vie, c'est peut être pour sa que j'ai du mal.

Je remet la clope dans ma bouche et déja sa va mieu. Je tire des petite latte pour commencer.

- Tu sais que sa tue des gens ce genre de chose.

Je me redresse dans le fauteuil et fixe harris.

- Alors, parlons sérieusement. Tu es sénateur, un homme haut placé ! J'ai entendu dire que le maire a déserté le térritoire. Tu croi qu'il serait possible que... enfin bon tu vois se que je veux dire.

J'arrête pas de rire en voyant Wolfie fumait. Ca s'voit qu'il n'a jamais fumer de ça vie : c'est un débutant.

W - Comment tu peut fumer ça. J'ai jamais fumer de ma vie, c'est peut être pour sa que j'ai du mal.

M - J'adore fumer, j'y peux rien. Et j'ai toucher à tout, crois-moi !

Il remet lentement la clope sur ses lèvres et tire quelques lattes. Deja, il tousse plus, ça vas mieux. Il me fais penser à une vieille femme qui apprend à fumer et qu'il ne connais pas du tout ce que c'est qu'une cigarette. Ou bien à un homme préhistorique qui n'a jamais vu ça.

W- Tu sais que ça tue des gens ce genre de chose.

M - Si tu commences à me dire ça, je vais en être degouter alors ne dis plus rien ! Riai-je.

W - Alors, parlons sérieusement. Tu es sénateur, un homme haut placé ! J'ai entendu dire que le maire a déserté le térritoire. Tu crois qu'il serait possible que... enfin bon tu vois ce que je veux dire.

M - Que quoi ? Que tu deviennes Maire ?

Je commencais à rire. Wolfie ! Maire ! C'est la meilleur ça ! Mais de toute façon, je lui doit beaucoup pour ce que je suis devenu.

M - Tu peux très bien devenir maire sans moi. Tu as controlé la mafia , tout l'monde c'est qui tu es et la majorité des citoyens voterons pour toi ! Mais tu auras peut-être besoin de moi pour quelques trucs,et je t'aiderai à obtenir c'que tu veux par tout les moyen !

Il se fout de ma gueule en me voyant fumer. Sa m'étonne pas, la scène doit être hilarante. Il me dit que je pourrais facilement devenir maire. Ok mais comment on devien maire. Avec la mafia c'était simple, il sufisait de buter usmitt, mais pour devenir maire, fodrai que je bute le maire, et elle est partit.

- Tu veux que je me présente aux election !

Je ris.

- Ok et comment on fait pour se présenter?

J'explose de rire. Harris doit vraiment se demander pourquoi je me marre comme sa mais je n'arrive pas a m'en empêcher. L'idée que l'ex boss de la mafia doit faire une campagne e fesait rire.

- T'a un briquet harris, passe le moi et suis moi.

Je sors de la maison, la baramine dans la main, et me met au volant de ma voiture. Le gars qui compte les voix allez avoir mal au cul. Je regarde la baramine a nouveau. Ouai il allait avoir mal au cul.

- Allez harris magne toi !

Je vérifie que mon desert eagles est bien chargé avant de mettre le contact. Dès que harris serait monter, j'allais demarrais.

Harris monte dans la voiture. J'accèlère a fond, c'est rare que je roule vite mais j'en ai rien a foutre. Après tout j'ai le sénateur avec moi, qu'est ce que pourrai bien me faire les flic. A peine ils s'aprocheraient que harris les ferai virer.

- Passe ton briquet.

Harris me le donne et je le foure dans ma poche. Je recommence à rire.

- On se croirait pas au bon vieux temps harris? Toi, moi, les conneries. On va bientot arriver.

Devant nous se dresser déja l'immense batisse de la mairie.

Kadie's

C'est vingt minutes plus tard que j'arrive chez moi. Tout au long du trajet, je n'ai fais qu'observer les personnes qui marchaient. Beaucoups de clochard et beaucoups de bourrés. J'entre dans ma rue, un quartier résidencielle qui n'a rien à voir au reste de Sin City. C'est un quartier où se trouve des arbres, des feuillages et des fleurs en bonne santé et non fanées. Je ralenti arrivé devant ma belle baraque et rentre la voiture dans le garage. Une fois que je l'ai verrouillé, je rentre chez moi. La lumière est allumée, mes gardes sont toujours present en train de patrouiller un peu partout autour et dans la maison. Je leurs ordonne d'aller jouer à cache-cache dehors. Il se casse gentiement sans dire un seul mots.

Une fois les gardes dehors et la porte claqué, je pose du tabac et des feuilles à rouler sur la table. Je pose ensuite le sachet d'herbe, et le dechire avec precaution. Une fois que c'est fait, je prepare mon petit sliff.

En même pas cinq minutes, le Spliff était fait et pret à être inhaler. Je l'allume avec mon zippo et tire quelques lattes pour l'allumer.

Putain de journée ! Comme toujours, il s'est passé un tas d'truc. Des meurtres, des surprises et des embrouilles. Des amis retrouvés mais aussi des ennemis, il faut que je m'occupe de Kesto et de son sale pote flics. Il vont me faire coffrer si je fais rien ou bien me tuer. Une seule solutions : Faire gaffe. Et si j'arrive pas à les tuer, je les éjecterai de Basin City. Il vont voir qui c'est qui fais la loi dans c'bled !

Après de nombreuses taffe, je commence à avoir la tête qui tourne. L'effet de la drogue commenc eà se faire sentir. Je me sens bien.
J'allume la télévision et regarde ma montre. Il est 23 heures 10. Il n'y a rien qui passent sur les chaines . Je les zappe et m'arrête sur une de musique Hip-hop. Je pose la télécommande et regarde les clips en fumant mon spliff.

C'est après avoir fais une nuit blanche et tenu 48 heures sans dormir que je m'endors sur le canapé après avoir finis mon joint.

La lumière du jour vient éffleurer mon visage et vient bruler mes yeux, c'est la raison de mon reveil. Un tel truc peut me mettre sur les nerfs pour le restant de la journée. J'ouvre mes yeux et regarde autour de moi, je n'ai aucune idée où sont mes gardes, si je l'ai vois pas tant mieux ! Ca m'évitera de passer mes nerfs sur eux et de le regretter ensuite. Juste avant d eme lever de ce putain d'canapé, je me rend compte que j'ai toujours le cadavre du joint entre les doigts et le sachet d'herbe toujours sur la table.
Je prend ce qui reste du joint et le depose sur le cendrier et range le sachet d'beuh dans un tirroir fermé à clé. Je me lève, deposant au passage toute les clopes qu'il y a dans le cendrier dans la poubelle. Ceci fait, l'odeur de tabac froid me brule les narines, alors j'ouvre l'immense fenêtre du jardin pour aérer la pièce. L'air se degage lentement vers la ville, le froid d'hiver me glace le sang et la neige continue de tomber sur Basin City. Pour ne pas geler sur place, je me dirige vers ma chambre pour choisir des fringues avant de passer dans la salle de bains.

Je me déhabille après avoir posés mes affaires sur une surface platre, une autre commode en verre. Je m'installe dans la douche et fais tourner l'eau chaude. Elle coule le long de mes bras, de mes muscles avant terminer sa route à mes pieds.
La douche va durer une bonne vingtaines, j'ai mis autant de temps pour rester dans la chaleur, je n'ai pas pressé de retrouver le salon glacé.
Je sors, me coiffe, me parfume et m'habille avant de sortir.

Ca fais bien deux jours que je ne suis pas rentré chez moi, et je n'ai pas pu prendre ma douche. Maintenant je me sent mieux, beaucoup mieux même !
Je ferme la fenêtre du jardin, la pièce avait été suffisament aérer pour aujourd'huis. Je reste pendant un long moment au millieu de l'immense salon à réflechir ce que je pourrais bien faire de ma journée. A mon avis, elle sera bien chargée.
Je pense à prendre un fusil sniper pour Kurt et 15 grenades dans un carton. Je sors de chez moi avec les armes et pose le fusil dans les places arrière et les grenades à la place du passager de d'vant.

Je rentre ensuite dans ma voiture, m'y installant sans demarrer, la portière ouverte. Je prend une munitions qu'il y a sur mon imper' et charge mon magnum. Après le chargement, je ferme ma portière, allume le chauffage et la radio et part de Sacred Oaks.

Je tourne sur plusieurs rues de l'immense quartier de Sacred Oaks avant d'arriver sur celle de ma maison. J'accelère encore plus devant chez moi et rentre la bagnol dans mon garage avant de sortir pour rentrer chez moi.
Et là, c'est la grande suprise, je vois une personne que jamais j'eu l'idée que j'allais la revoir. C'était Kate Bryan, une ancienne mafioso qui s'est convertit en tueuse à gage, cette fille est une dangereuse mais je m'en approche sans peur avec la clope au bec. Je m'avance toujours et tire une lattes sur ma clope avant de recracher la fumée dans l'air et de lui parler.

M- Qu'est ce que tu fiches ici ?

Kate releva lentement la tête, ne s'étant même pas rendue compte compte qu'il était là tellement elle avait attendu. Elle releva les yeux vers lui toujours assise et déclara d'un ton morne.

"moi aussi je suis contente de te revoir Matthew.."

Le temps d'un seconde, elle se demanda ce qu'elle fichait ici et repris ses affaires, prête a partir...

"moi aussi je suis contente de te revoir Matthew.."

Elle se leva, prête à partir. Qu'est ce qu'elle foutait là ? Ca fais énormement de temps que je ne l'avais pas vu à Sin City, elle était surement partis pour une autre ville, tout comme moi je l'ai fais...

Je lui pris le bras pour la retenir, pour pas qu'elle ne s'échappe dans la nature une nouvelle fois. Je lui tourne la tête pour pouvoir la regarder dans les yeux.

- Escuse-moi...

Je lui lache lentement le bras et me reprend après avoir écraser ma clope au sol.

-...Tu vas bien ?

Elle hocha lentement la tête, oui ça allait bien, même si elle se sentait perdue et ne savait pas pourquoi elle était revenue dans cette ville de malheur, même si elle se sentait seule.

"c'est pas grave..ca va toujours, et toi ?"

Elle le fixait toujours, sentant ses longs cheveux bruns décoler au vent. Ils avait encore poussé et a présent descendait jusqu'a ses cuisses...des petits flocons de neige descendait et s'accrochaient un peu partout, sur ses vetements et sa peau... Son regard se transforma peu à peu, laissant partir toute la méchanceté et exprimant une douceur et une sensibilité qui n'avait jamais paru chez elle.

c'est pas grave..ca va toujours, et toi ?"

Je la regarde et lui tiens le menton pour la regarder dans les yeux. Ses yeux brillent, elle semble beaucoup plus tendre et féminine. Ce qui n'était pas vraiment le cas avant.

-Disons que je me débrouille pour que ça aille bien...

La neige tombe sur le quartier de Sacred Oaks. Nous sommes sur la pelouse cachée par la neige. La rue n'est plus grise ou jaune, mais elle est remplie de blanc. On ne voit que nos empreinte de pas sur le gazon.
Les flocons de neige viennent effleurer nos visages, laissant un peu de douceur.

- Tu veux rentrer ?

En effet, le froid commencait a glacé mes veines et mes mains devenait bleu. J'ai un petit problème avec la circulation sanguine, il ne faut pas que je reste au froid, et elle non plus. La temperature me tire la peau, comme si je faisais un lifting. Quand on parlait, nos paroles laissait place à de la buée.

Elle esquissa un petit sourire à ses paroles et au regard qu'il lui jeta. Machinalement, elle fit un petit mouvement de tête pour déposer ses lèvres brulantes sur sa main glacée qui tenait son menton

-Je veux bien.

Elle accepte ma proposition, je lui sourit et lui passe ma main derrière le dos pour l'accompagner jusqu'à la porte d'entrée. Durant le chemin, je suis du regard les gardes qui partrouille autour de la maison et plus particulièrement celui qui passe devant la porte d'entrée. Il commence par sortir son arme et le pointe vers Kate, je me separe de Kate et pète le bras en quatre de mon garde. Il lache son arme par la douleur et lui envoie un violent coup d'poing dans la gueule. Le type s'endors. Je reviens vers Kate avec le sourire et remets mon bras derrière son dos.

-Désolé, il recommencera plus...

On traverse la porte d'entrée. Une bouffée d'air chaud vient nous effleurer le visage et le corps, ca me fait frissonner et referme la porte derrière nous.
Je me prend une clope et l'allume, je tire une longue taffes sur celle-ci, en espérant que ça me rechauffera même si je sais que la clope ça n'a jamais rechauffer personne.

Elle regarda tout autour d'elle, la déco avait un peu changé mais c'était toujours la même chose au fond...Elle s'approcha en peu plus de Matthew et lui tira la clope du bec comme elle le faisait souvent avant...mais d'une façon beaucoup plus douce...

"t'as pas perdu les bonnes vieilles habitudes..."

Elle éteigni doucement sa cigarette, puis la posa dans un cendrier. Elle attacha ensuite ses cheveux en une queue de cheval. Contrairement au passé, chacun de ses mouvement dégagait une extreme sensualité...elle n'était plus la jeune femme inconsciente et violente d'avant...même si elle savait toujours cogner aussi dur...

Elle me retire la clope de la bouche et la pose sur le cendrier. Elle l'avait fait avec féminité, pas comme y'a quelques mois. Si elle n'avait pas été aussi douce, je crois bien que j'aurais haussé la voix pour m'engueuler avec elle, mais sa douceur me fais taire.

"t'as pas perdu les bonnes vieilles habitudes..."

-Non... Lui disais-je avec le sourire.

J'avais completement zappé que je lui avait promis de ne pas fumer, mais les promesses c'est pas trop mon truc, surtout pour la clope. C'est le seul truc qui sait me detendre, même si je suis assez nerveux même en fumant.
Je la regarde dans les yeux, ses yeux brillent toujours. La feminité a pris place en elle, et je lui souris.
Je rapproche mon visage du sien et m'avance pour lui deposer un baiser sur les lèvres.

Elle répondit a son baiser et l'approfondit, déposant sa main sur sa joue qu'elle caressait doucement. Elle se sentait bien avec lui. Elle n'avait pas besoin d'avoir de masque, d'être dure et froide, elle pouvait être elle même.

"tu m'a manqué..."

Elle repris ses lèvres et approfondit encore plus son baiser avec toujours plus de douceur. Elle ne s'était jamais comportée comme cela avec qui que ce soit...et pour la première fois de sa vie elle laissait voir sa fragilité

"tu m'as manqué..."

Je lui sourit, toujours plus qu'avant.

- Toi aussi...

Je la regarde dans les yeux, et pense à Murdoc, lui qui veut la tuer... Je repense à ce qu'il a dit à Jenny Ryder, il lui a posé un prix sur la tête de Kate, il veut qu'il la tue, je dois rappeller cette Jenny et la payer pour mettre fin au contract, mais Murdoc ne va pas comprendre pourquoi.

Je rapproche de nouveau mon visage de celui de Kate et l'embrasse de nouveau, plus passionnément que tout à l'heure...

Kate se sentait de mieux en mieux avec lui, elle passa ses bras dans son dos et le serra contre elle...échappant a plusieurs reprises a ses lèvres pour l'embrasser au creux de son cou...Pendant quelques instant elle fixa à nouveau son regard puis l'embrassa a nouveau et redéposa une trainée de baiser sur sa peau. Elle s'arrêta au bout d'un petit moment puis lui adressa un sourire.

"Comment vont les affaires chez toi ?"

C'est un moment fort : Elle m'embrasse sur le cou pendant quelques secondes, me regarde avant de recommencer. A croire que j'ai du bol, j'ai un magnifique job et je suis en compagnie d'une femme, encore plus belle et plus sexy qu'avant, alors que d'autre se gèle les couilles dehors, ou bien sont en train de s'empiffrer devant la télévision. Pendant qu'elle me depose ses magnifique lèvres sur mon cou, je lui depose moi aussi des baisers,mais sur la joue tout en caressant ces long cheveux qui s'étendent sur son dos. Elle a de beaux et long cheveux, une femme féminine et non garçon marqué.

Elle s'arrête, et me regarde avec ses magnifique yeux de biche tout en souriant.

K - "Comment vont les affaires chez toi ?"

Quand elle me pose cette question, mes meilleurs souvenirs d'éxecution se défilent dans mon esprit ainsi que me divers réunion politique, et bloque sur un meuble en m'en souvenant. Je suis le plus dangereux des politiciens, quand je veux un truc et que l'autre ne veut pas, je lui pete le bras et l'envoi pour un mois de séjour à l'hosto. Puis je la regarde, quittant le meuble des yeux, et lui adresse un sourire suivit d'un petit rire.

M- De mieux en mieux !

Quel bons souvenirs ...