Chambre d'Hotel de Rodrigo Moran

"Dépose Ben..." , Banlieue

C'est après avoir payé la magnifique sommes de 35 dollars au gérant de l'hotel que je monte les escaliers pour découvrir la chambre 15 qui m'attend. J'ouvre la porte de ma nouvelle chambre avec une carte magnétisé que je passe sur un détecteur comme on voit dans les films. Une petite lampe verte s'allume suivis d'un petit cliquetis qui me signale que la porte est déverouillé. J'enclenche la poignet vers le bas et ouvre la porte de la chambre 15.
On ne peut pas dire que c'est un hotel quatre étoile, la chambre est seulement équipé d'un lit comme on trouvent en taule à savoir : Traversin , drap housse, drap et une saleté de couverture qui pique. On peut y trouver aussi : un bureau merdique, une lampe de chevet qui marche pas , et j'allais oublier...Un chauffage qui ne marche pas non plus et des stores completement déglingé, positionné en diagonal au lieu d'être bien droit.
On se demande pourquoi j'ai payé une chambre comme celle-ci, la seule chose qui différencie cette putain d'chambre à la con et dehors, c'est qu'au moins, ici, je prend pas la neige...
Je m'installe sur le lit qui est loin d'être douillet, et m'allonge sur le dos. De là, je sors un petit bouquin de psychologie et commence à le lire. Et puis je me dis qu'avec le crétin d'en haut qui joue de la flute, je suis mal barré pour me concentrer sur le livre que je lis et encore moins pour dormir...

Quelques minutes plus tard, je commence déjà à avoir les yeux qui piquent, la tête qui tombe toute seule et les paupières qui se ferment. Je n'arrive plus à lutter contre la fatigue. De plus, je n'ai pas pu finir mon livre, l'ampoule au plafond vient de griller avant d'avoir fait comme sur le sapin de Noel. Maintenant, je me retrouve dans le noir et completement fatigué. Je pose alors mon livre et mes lunettes sur le sol, et commence à m'endormir. Heureusement que le taré d'en haut à cesser de jouer d'sa flute....

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Le lendemain matin, je me reveille assez tôt. Je me suis toujours reveillé dans les alentours de six heures. J'aime la nuit plutôt qu'au jour. La nuit, on peut ressentir l'air frais et voir les immeubles s'allumaient petit à petit.
Sauf qu'à Sin City, c'est l'air pollué qui domine, cet air te détruit les poumons et te rend asthmatique jusqu'à en crever. C'est cent fois pire qu'une clope.
Je me lève du lit avec la tête qui tourne, et des envie de vomir. Je parie que cet hotel est remplie de monoxyde de carbone. Je m'assis sur mon lit, les pied sur le plancher et m'habille.... Aujourd'hui, je porterai les même fringues qu'hier. Une fois habillé et avoir fait tous ce qu'il fallait ( sauf me laver parce qu'il n'y a meme pas de douche), je sors de ma chambre, la carte magnétique à la main, et en laissant mon sac de fringues à l'intérieur.

Underworld Nights

Ca fait pas loin de deux heures que je suis là, assis sur une chaise dans un coin vide de ma pauvre chambre, qui est elle aussi très vide...Je suis sur une chaise, devant un bureau, tenant ma fouchette sur ma pauvre assiette de pâtes mendiante qui ne reclame qu'à être bouffer pour te rendre malade etainsi te filer une très belle diarhée. Je la fixe sans en prendre une bouchée. Pendant de longues secondes, je ne fais que la regarder et admirer la tristesse qu'elle apporte dans ma vie de chien de Basin City. La pièce est vide, ne comportant qu'un lit misérable, une chaise et un bureau pour au moins manger. Le chauffage ne marche plus, la pièce est plus froide qu'un frigo et je suis la dedans, à me les geler pensant que c'est l'meilleure moyen pour ne pas attraper une pneumonie. J'comptemple mon assiette de pate italienne...Berk ! Ces pâtes sont restés pendant trois bons jours dans la marmitte, et tout est dur et imangeable. Cependant, cette assiette, bien qu'elle soit triste et promettante de nombreuse maladie diverse, je la mange en grimancant. Ca n'a aucun gout de plus bon que les pates moisis et dur comme de la pierre. Je mets une tonne de sel pour que ça ait du gout. Je fini mon repas la tête baissée et en bouffant de la merde. Je me lève ensuite, puis prend une clope pour ma gueule sente autre chose que ça et tire plusieurs bouffée une fois qu'elle ait allumée. Je me ballade dans la petite pièce qui me sert de chambre froide et regarde l'exterieur à travers la fenetre glacée.

Au bout d'un certains temps, je commence à m'ennuyer en regardant ces pauvres taches sur les trottoirs. Je prend mon arme de service, bien que je n'y suis pas et sors de ma chambre. J'ai besoin de me detendre et de parler à quelqu'un de raisonnable dans cette ville. Je decide d'aller à l'Eglise, c'est le seul endroit où je me sens bien.

L'Eglise, Sacred Oaks

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