Le con il a fait la gaffe. Tout c'passe en un éclaire, d'la main gauche j'lui ai r'lever le bras avec lequel il me pointait la gueule, maintenant son canon est pointe le plafond, et d'la main gauche j'dégaine mon desert eagle, j'y ai installé l'silencieux qu'jai pris a l'armurerie avant d'venir, les deux coup partent, le bruit étouffé par l'silencieux. J'vais pas l'buter comme ca, pas si vite, j'ai visé les g'noux, les deux. J'lentend a peine gueuler sa douleure que j'ai filé un chassé dans son bassin pour l'faire rentrer dans l'appart. Dans l'mouv'ment j'le suit et tire une balle dans son poignet droit, c'lui qui t'nait son flingue. J'fais une pose pour fermer la porte d'un coup d'talon. Puis j'm'approche, un sourir sadique au levres
-Toi tu va souffrir mon gars. T'imagine même pas a quel point j'vais m'faire plaisir
J'le regarde dans les yeux caressant son visage de la main gauche.
-On va commencer par te peter la machoire
Et la main avec laquelle j'lui caressait la joue lui serra d'un seul coup la machoire inférieure, et d'un coup sec j'lui tord bien comme il faut jusqu'a c'que j'entende le "crac" que j'aime tant. L'mec hurle puis il s'arrete, ca lui fait trop mal de crier. Moi j'me marre en l'regardant
-T'a fait deux conneries mec, t'as tuer la fille du mec qu'il fallait pas et t'as insulté maman. Oui elle était pute et alors ?
J'lui fous mon poing dans l'estomac, bien violement. Puis j'arrache les fils du téléphone et l'attache avec au radiateur
-Bouge pas ma puce j'revien avec le matos
Puis j'vais dans sa cuisine de luxe, j'prend le plus p'tit couteau que j'trouve et aussi l'plus grand. Histoire de m'marrer. Quand j'revien l'con est entrain d'essayer de s'barrer en tirant sur l'radiateur. Hillico j'larrete en lui mettant un chassé dans l'épaule
-Stop !! Tu pourra pas partir de toute façon
Le pauvre type s'met a chialer comme une fiote. Ca m'enerve encore plus alors j'le saisi par la machoire et serre assez pour qu'il ouvre la bouche bien en grand. D'un geste précis, avec le p'tit couteau, j'lui passe la lame dans la bouche, la r'ssortant en sang. Puis j'lui tape dans l'dos, pour l'faire cracher, et il crache, un truc bien gore a souhait, c'est sa langue qui est sur l'parquet maintenant, lui il a la bouche en sang.
-Au moin on t'entendra moins ma puce
Puis j'ramasse le grand couteau et lui enfonce dans l'épaule, bien a fond, il hurle a la mort mais sans langue. Quand j'suis bien stable j'abaisse la lame, la pointe plantée dans l'os fait pivot et v'la que la lame tourne sur 40° vers le bras, découpant sa chaire et ses muscles. J'frissone de plaisir en sentant ça
-Ca soulage mon vieux, tu d'vrais essayer
Puis j'reprend le p'tit couteau et lui arrache sa ch'mise
-Là ca vetre un peu crade ferme les yeux
Et j'plante ma lame de sorte a c'quelle passe derriere le téton, plus faisant rapidement tourner la lame le téton tomba au sol, laissant s'échamet le sang sur le sol, le muscle apparaissant un peu.
-Attend, sinon j'vais m'tacher avec ces conneries
Puis j'pose mon imper sur l'dossier d'une chaise avnt d'rev'nir vers lui
-J'tai manqué ?
Puis j'me bidone a nouveau, torce poil d'vant c'type qui souffre le martyr
-J'vais faire vite maint'nant parc'que j'ai b'soin du fric que tu va m'rapporter mon gros loup
Alors j'mapproche de lui et lui met une poing dans la figure, le choc fait mal, j'entend ses os craquer sous moin poing, il est KO. Puis j'le détache te l'approche de la f'netre, Il est au 20ème étage, a c'te hauteur j'suis sur qu'il en reste que d'la bouillie. Puis j'vois un camion qui emprunte la rue, il fonce dans ma direction, 20 étages en d'sous, alors j'ouvre la f'netre et l'balance avant d'me r'culer. J'récupere mon imper mon gun et prend les couteaux et le fil du téléphone en plus. C'est qu'en fermant la porte de l'appart que j'entend le "BOUM" qui signifie qu'le corps a touché l'sol. J'prend mon temps pour descendre, il m'faut bien 20 minutes. Quand j'arrive en bas les pompiers font barrage, j'longe leur barriere humaine et m'éloigne du carnage, quand j'me r'tourne pour r'garder j'vois l'camion et en d'sous les taches de sang et de les morceau de cadavre qui veulent dir qu'en plus il a roulé d'sus. J'suis d'jà loin quand j'commence a m'marer un peu, puis j'sort mon téléphone est appel le numéro indiqué dans l'contrat
-Allo ? C'est Anderson, c'est fait. On se retrouve dans la rue de tout a l'heure
Puis j'raccroche avant même qu'il ai dis quoi qu'ce soit, c'était mon employeur de la soirée, et il allait devoir raquer