La caisse

* La boutique traditionnelle Hattori Hanzo. Un nom un peu abusif si l'on considère qu'Hattori Hanzo était un fabriquant de sabre, mais qu'importe. Ici, on trouve son bonheur en arme blanches. La vendeuse, Itchina Hanzo, la nièce de Mr Hanzo, se trouve derrière le comptoire, un katana attaché à sa ceinture. *

*Nirmayi pénètra dans la boutique, et admira toutes les lames magnifiques qui l'entouraient, ne sachant plus où regarder. Elle errait dans les rayonnages avec un air de petite fille ravie. Finalement, elle s'arrêta devant une collection de wakizashi. L'un d'entre eux, tout noir, attira au premier abord son regard par sa simplicité. Elle le prit en main, le dégaina, le soupesa et tenta de donner un coup. Instatisfaite, elle le reposa aussitôt. Parcourant le rayonnage du regard, elle en remarqua un, à l'étui d'un rouge sombre et profond, et à la garde blanche, orné d'un sigle chromé, élégantes et féminin. Elle répéta l'opération, et cette fois un grand sourire illumina son visage. Elle s'approcha d'Itchina Hanzo, et, sans un mot, lui fit comprendre qu'elle le désirait. Nirmayi semblait muette de bonheur. Toujours le sourire aux lèvres, elle sortit du magasin en sifflotant.*

*Matthew débarqua dans la boutique , il aimait les sabre plus que tout , il a decouvert la culture japonnaise-chinois à ses 6 ans.
Il s'approcha d'un katana qui lui tappa à l'oeil le pris et l'amena à la caisse*

"Bonjour madame , je voudrais ce katana s'il vous plait"

- D'accord, ça fera 199.74 $ monsieur"

*Il sorta l'argent demandé et la donna à la femme*

"Merci monsieur , au revoir "

*Il pris son katana et partis en la saluant*

*Nirmayi entre dans la boutique, avec un sac en papier contenant visiblement quelques vêtements récemment achetés. Elle flâne dans les rayons, et finit par se décider pour un stylet magnifiquement ouvragé, ressemblant plus à un bijour qu'à une arme. Après l'avoir payé, elle ressort nonchalamment du magasin.*

J’entre dans la boutique et me dirige vers le comptoir

« Bonjours il me faudrait 10 shurikens à 6 lames »
« Ok ! »

I l fouille sous son comptoir et me sort mes shuriken. Je dépose une liasse de billets sur la table et prends les shuriken et reste devant le comptoir« Autre chose ? »
« Il me faudrait un katana »
« OK »
« Non non pas un model classique ! »
« Quel model ? »
« Il me faudrait un katana à lame droit aiguisée en vague pommeau lisse sans garde main avec Foureau en bois peint noir vernie se serait possible »
« Dans trois jour et en cash ouai »
« Hé bien à dans trois jour »

Je ressors de la boutique !

trainé dans la rue quand elle aperçut onizuka

"hé salut"

se frotta a lui

"t'habite loin d'ici??"

*tient la re voila elle* la pute d’hier se frotte a moi je la repousse

"t'habite loin d'ici??"
« J’ai pas de chez moi ici ! »

Je prends mes affaires et me dirige vers la rue [suite de la converse dans la rue]

Je rentrais dans le magasin et ne voulant pas attendre je dis :

"-Vite , je voudrais 2 sai et 10 shrikens !"

La femme du comptoir me les jeta apeuré et je lui jeta ma liasse de billet.

"-A plus m'dame"

The cauldron was a-bubbling
The flesh was lean
And the women moved forward
Like piranhas in a stream
They spread themselves before me
An offering so sweet
And they beckoned and they beckoned
Come on darling eat

*Nirmayi entre en chantonnant, erre un peu dans les rayons, puis feuillette un catalogue.*
Eat the summer cannibals
Eat eat eat
You eat the summer cannibals
Eat eat eat

*Elle pointe son doigt sur quelques objets*

I felt a rising in my throat
The girls a-saying grace
And the air the viscous air
Pressed against my face
And it all got too damn much for me
Just got too damn rough
And I pushed away my plate
And said boys I’ve had enough
And I laid upon the table
Another piece of meat
And I opened up my veins to them
And said come on eat



*Elle s'adresse à la vendeuse en montrant les objets choisis.*

- Je voudrais ces magnifiques shurikens chromé. Une trentaine, si possible.

*La vendeuse sortit les objets demandés de son arrière-boutique et les déposa sur le comptoir en indiquant le prix. Nirmayi sortit une liasse de billet de son sac, et paya la jeune femme, récupéra les armes demandées.*

Cause I was down in georgia
Nothing was as real
As the street beneath my feet
Descending into hell....

J'entre toujours en me frottant les mains en essayant de me rechauffer.Je me dirigeai vers le comptoire.Je commençai vraiment à connaître cet endroit ,j'y venait tout le temps.
Je parlais à la femme très gentiment.

"-Bonsoir Madame ",lui disait en la saluant à la japonnaise.

Et me mis ensuite à regardai un peu partout.Je posai mes yeux sur de magnifiques shurikens bien pointu et ne les quitta pas des yeux tellement j'étais en total admiration.

"Je voudrais vous acheté 10 beaux shurikens comme ceux-ci ,s'il vous plaît"

La femme me fis "oui" de la tête ,les pris et posa sur le comptoire.Elle me dit le prix et lui regla la totalité puis parti en la saluant.

Motoko entra dans le magasin avec un air strict réhaussé par sa coiffure inhabituellement sérrée. Elle regardat toutes les lames qui l'entouraient.

--ça ne va pas... ça non plus... --

Elle s'arreta finalement en voyant une série de shuriken.

--Voila... --

Se dirigeant vers la dame qui tenait la caisse elle dit sèchement :

Pourriez-vous me fournir 5 shurikens ?"

Une pensée lui traversa l'esprit. Avait-elle de l'argent ? Rien n'était moins sure. Elle avait repris conscience au milieu de la rue devant un hopital... Sa main droite fouilla instinctivement dans la doublure de son pull et elle trouva de quoi payer sa commande.

Quand la femme eut posé les shurikens sur la table Motoko fit glisser trois billets usés jusqu'à la corne et fit demi-tour pour sortir précipitement.

Dans la rue commerçante

La puissante moto de la japonaise s'arreta devant le magasin d'arme dont le néon clignotant attirait les regards curieux. Motoko déscendi de son véhicule et pénétrat dans la boutique. Elle se dirigea tout droit vers la caisse.

Bonjour, je voudrais une commande spéciale.

Bonjour lui répondit-on avec un sourire commerçant. Quelle est votre commande ?

Il s'agirait d'un BoKen de 1m40 ainsi qu'un autre avec ces dimensions.

Elle décrocha le Ninja To qui était fixé à son dos. La vandeuse le regarda et le soupesa.

Pas de problème, ils seront disponible bientôt. A quel nom je mets la commande ?

Kusanagi

Après se court dialogue en japonais Motoko sortit et enfourcha sa moto. Elle créa un autre nuage de fumé.

--et maintenant, Wolfie... --

Motoko pénétrat dans le magasin.

La japonaise qui tenait la caisse reconnu sa compatriote et sortit les armes d'entrainement en bois. Motoko les saisi une à une et les soupesa.

"Très bien, je les prends"

La vendeuse lui indiqua le prix et elle regla rapidement en liquide. Elle sortit et décrocha son téléphone portable. après son coup de fil elle partit vers le underworld night.

J'entre dans le magasin après avoir garer ma mercedes devant la boutique. J'avance directement à la caisse.

-Une machette s'il vous plait.

La personne à la caisse amena la commande que je fourai vite fait dans mon sac poubelle. Je sortit donc de magasin et aller m'assoir au volant de ma voiture. Je pose le sac sur mes genou pour faire le point.

*Alors voyons voir, mon flingues, un pied de biche, une machette, de la morphine. OK allons y*

Et la mercedes s'éloigna.

entre dans le magasin quand un tye en sort le regarde mais il ne fais pas gaffe . regarde un peu partout et choisi les sai

* on asit jamais ...je pense que sa peut etre ici*


passe a la caisse sors la tune , prend ses armes et sort de la boutque presque aussi vite qu elle y est entree

**John rentre dans le magasin et admire ces magnifique lame orientales**
Il a trouvés ce qu'il voulait et demande à la caissière:

Donné moi 4 Shurikens à 5 lames

**Il dépose quelque billets sur la caisse et demande caissière qui est aller chercher ce qu'il voulait dans l'arrière boutique **

Ce sont des véritables Hattori Hanzo??? C'est juste pour le prix que l'on paie je voudrai être sur!

**La caissière lève les yeux au ciel en guise de réponse et le tueur à gages prit ses shurikens et s'en alla**

Bobby fit signe à Ray de le suivre, il prenait les choses en main.
Il rentra alors dans la boutique, il était devant la caisse, les mains dans les poches, le flingue à la main droite. Il ne fit comme si rien n'était, il regardait le contenu du magasin.

*Ca ma l'air intéressant !*

Il fit un clein d'oeil à Ray et lui chuchota :

Je te laisse faire l'artiste...

*J'avançais vers la caissiere. Merde tuer une femme se ne se fait pas. C'est pas grave on va se la jouer finement. Deplus, un magasin d'arme devait être bien équiper contre ce genre de cambriolage. Cependant il n'y avait que la caissiere.*

-"Ecoute bobby, prend garde de ne pas lever la tête, au cas ou il y aurait des caméra."

*J'avance vers la caissière et sort mon arme. Elle semble commençait à flipper mais se detend en entendant mes mots.*

-"Bonjour, se serait pour faire réviser mon arme, elle ne fonctionne plus."

*Je pose le flingue sur le comptoire mais là elle me sort que c'est pas ce genre d'arme qu'elle vend. Pas des armes à feu. J'en avais profiter pour m'aprocher d'elle. C'est là que je lui attrape la tête, et que je lui claque sur le comptoire.*

-"Dans ce cas tu peut peut être nous faire un prix sur le reste"

*Je tenais la tête de la femme contre le comptoire et elle ne pouvait donc plus bouger.*

La caissière était habillé en tenue Japonaise qui pouvait ressembler à un pyjama. Elle était de couleur blanche avec des lignes vertes et jaunes avec des motifs qui ressemblait à des roses . Elle avait la tête plaquée contre le comptoir , violemment, par l'enorme force et les grosses mains de Raymond.
Elle était armé de deux Katanas, rangé au deux coté de la hanche.

[Caissière:] Comment ça, je ne comprend pas !

Elle avait peur et sa voix était toute tremblante.

Raymond fait un coup d'oeil rapide à Bobby et, alors qu'il tenait la tête de la caissiere de la main gauche, il prit son flingue dans sa main droit et le plaqua sur la tête de la jeune japoniase.

-"Ecoute ma mignone j'voudrais pas trop t'arranger le portrait. Mais j'ésiterai pas à le faire si tu me casse trop les burnes. Alors écoute, tu fait un geste brusque, tu es morte, tu m'obéi pas, tu es morte. Dit toi bien que tu ne me sers a rien et que j'ai aucune raison de pas te flinguer. Alors maintenant tu reste tranquille et tu te la ferme. Tiens !!! j'entend quelques chose, c'est la voix de dieu qui dit qu'il faut que tu vole la caisse mon ami. ALLEZ magne toi !!"

*J'tiens l'asiat bien en joug, si elle fait un tout petit mouvement je la flingue. Qu'est ce que j'en ai a foutre franchement.*

Bobby gardait la tête en bas, il ne voulait pas sourire à la caméra. C'est alors que Raymond s'énerva sur la caissière, la pauvre femme était en train de se pisser dessus. Bobby sourit et dit à Ray :

Calmes-toi mon vieux...

Il se bessa vers la jeune japonaise :

Ecoutes, je ne veux pas de casse, donnes nous ce que l'on veut et on ne te fera aucun mal, je t'en donne ma parole...

Il était très calme, il avait l'habitude de ce genre de situations.
Il rendit son clein d'oeil à Ray...

*Putin j'y croi pas elle garde le silence, elle se fout de ma gueule, j'peut pas laisser faire sa. Merde !!... Raymond calme toi, souffle un coup, c'est pas grave sa va passer. Putin j'déraille j'me parle à moi même. C'est quoi ce bordel. Sa se trouve j'suis en train de rêver, ouai ça doit être sa je rêve...Non y'a juste que j'deviens fou. Mais pourquoi?*

La femme bougea un petit peu sa tête, elle devait avoir mal a force d'être plaquer contre le comptoir.

-"Oh et toi arrète !!!"

Le coup partit, la femme qui avait le flingue sur le visage avait un trou bien net à l'arrière du crane.

-"Merde mon costume !! Fait chier !!"

Bobby qui était prêt de la malheureuse reçut des giclées de sang en pleine figure. Il releva la tête et s'essuya le visage, il était couvert de sang et de bouts de cervelle. Il eut un rictus :

Bravo...

Il faisait un effort énorme pour garder son calme mais il craqua, il donna un coup de pied dans le comptoir :

Putain !! je le croit pas ! une pov' conne de serveuse !!

Bon Sang, t'as pas entendu ou quoi ?! Je lui ai promit qu'on en lui ferais pas de mal ! pourquoi t'as fait ça ??

Bobby était fou de rage, il rouspétait à voix basse et faisait les cents pas dans le magasin, au bout d'un moment, il se clame et dit à Ray :

Et maintenant, on fait quoi ??

*Il à l'air énervé, sa m'étonne pas, c'est pas tout les jours qu'on manque d'avaler un bout de cervelle qui te saute au visage. Bah, c'est pas bien grave, c'est pas le premier meurtre que j'comet et c'est pas le dernier non plus, sauf si on traine trop longtemps dans les parage. Il me demande se qu'on fait maintenant.*

-"Bah... J'propose qu'on prenne la caisse, qu'on emporte ce qu'on peut en arme, et qu'on aille voir si la mafia voudrait pas nous acheter un ou deux de ces sabres... Qu'en penses tu?"

Raymond se releva, regardant son costume tout sali par le sang.

-"Et après je serais pas contre passer à mon hotel pour me changer."

Ray rangea son flingue encore fumant, il esperer ne plus a avoir à s'en servir aujourd'hui.

-"Et toi tu propose quoi?"

Bobby écouta très attentivement les propositions de Ray.
Il avait encore l'air furieux, il s'enleva un bout de cervelle qui pendait de sa manche et dit en haussant les épaules :

Si tu marches, je marche !!

Il commança à examiner les sabres, se cachant toujours de la camera :

*J'espère qu'elle n'a pas eut une de nos tronches !*

Lesquels on prend ?